« Rencontre de Valensole » : différence entre les versions

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Fichier:Gendarmerie_PV_N°105_du_1965-7-2_-_Figure_1.png|thumb|400 px|Croquis de situation / Image : Gendarmerie Française
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Fichier:Gendarmerie_PV_N°105_du_1965-7-2_-_Cliché_4.PNG|thumb|400 px|Photographie de la scène d'observation / Image : Gendarmerie Française
Fichier:Gendarmerie_PV_N°105_du_1965-7-2_-_Cliché_4.PNG|thumb|200 px|Photographie de la scène d'observation / Image : Gendarmerie Française
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Dernière version du 27 février 2024 à 08:01

La rencontre de Valensole est une observation célèbre de Rencontre rapprochée du 3e type française ayant eu lieu en 1965 sur la commune de Valensole. Elle implique un témoin avec deux entités de type humanoïde, un engin de forme forme ellipsoïde et des éléments matériels sous la forme de traces au sol. Le témoignage a fait l'objet d'un procès-verbal de Gendarmerie, les gendarmes ayant pu en outre constater la réalité des traces au sol.

Description

Déroulé

La rencontre s'est déroulée le 1er juillet 1965 5:45, au lieu dit "Olivol", situé à 4 km au Nord-Ouest de Valensole, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en France. Mr Maurice Masse a quitté son domicile à 5:30 pour se rendre dans son champ pour biner ses lavandes. À 5:40, il retire sa veste et s'arrête pour fumer un cigarette. Il entend alors un sifflement dans les environs ; l'origine du son lui est caché par un tas de pierre, et il n'observe rien. Il se dirige vers l'origine du son, au Sud-Ouest de sa position, et aperçoit alors, à environ 60 m de distance (90 m selon les relevés de la Gendarmerie), un véhicule qui est posé dans son champ de lavande.

Il aperçoit une entité à l'intérieur de l'appareil, près du sommet, au travers d'une surface transparente, ainsi qu'une deuxième entité à terre. Dans sa déclaration ultérieure du 18 août 1965, il déclare toutefois que les deux entités sont à terre, accroupis. L'un d'entre eux lui tournait le dos, tandis que l'autre lui faisait face. Ils regardaient tous les deux un plant de lavande.

M. Masse s'approche à 7 m de l'appareil, en longeant tout d'abord la vigne qui jouxte son champ. À ce moment, l'entité tourné dans sa direction l'aperçoit. Les deux se tournent alors dans sa direction. L'entité qui avait le dos tourné tend alors dans la direction de M. Masse un objet. M. Masse est alors immobilisé, sans sentir d'engourdissement ou de contracture. Les deux entités sont ensuite restés à l'observer, dans une attitude qui ressemblait à une conversation : des gargouillements sortaient de leur gorge, et leurs yeux bougeaient. Le témoin avait l'impression que les entités se moquaient de lui, sans pour autant donner l'impression de lui vouloir du mal.

Après une durée de 4 à 5 min, les deux entités montent alors avec agilité dans l'appareil, en s'agrippant à l'ouverture de la main droite puis de la gauche. La porte se referme. L'appareil décolle, puis disparaît presque immédiatement en direction de Manosque, vers le Sud-Ouest.

M. Masse reste immobilisé pendant environ 15 minutes. Puis il peut à nouveau bouger et continue à travailler jusqu'à rentrer chez lui vers 8:30 - 9:00.

Après s'être approché du lieu du posé de l'engin 15 ou 20 min plus tard, Mr Masse constate des traces sur le sol. Plus tard dans la journée, il évoque son observation avec un ami à 10:30. La rumeur enfle, et est rapportée à la Gendarmerie le lendemain. La Gendarmerie convoque ensuite le témoin. En compagnie de M. Masse, les gendarmes inspectent le lieu de posé, et confirment la présence du trou, ainsi qu'un sol piétiné par de nombreux curieux.

Entités

Les entités ont une forme humanoïde, avec une tête, deux bras et deux jambes. Ils sont de petite taille de 1 m environ. Ils ont une tête en forme de potiron, d'un volume 3 fois supérieur à une tête humaine. Ils sont de forte corpulence, leur carrure est à peine plus large que leurs têtes.

Les entités n'ont presque pas de cou, et leur tête est rentrée dans leurs épaules. Leurs oreilles sont assez grandes, ils n'ont pas de menton, et ont un trou rond à la place de la bouche. Leurs yeux ressemblent aux yeux humains, mais sans sourcils. Leur crâne est lisse, sans cheveux, et ils n'ont pas de barbe. Leur couleur de peau semblent au témoin de type européen.

Ils ont de petites mains. Le témoin n'a pas distingué de doigts à l'exception de leur pouce, et n'a pas fait attention à leurs pieds.

Ils portent une combinaison d'une seule pièce, de teinte foncée, et portaient à leurs flancs deux étuis, celui de gauche de petite taille, et celui de droite plus volumineux, accrochés à une ceinture. L'entité qui portait l'objet qui a paralysé M. Masse l'a remis ensuite dans son étui porté à sa gauche.

Appareil

L'appareil a la taille approximative d'une voiture "Dauphine". Sa forme est celle d'un ballon de rugby, avec une hauteur de 2,50 m. Il est de couleur mate. Il est doté sur le côté d'une porte à glissière, plus haute que large, à peine plus grande que les entités, s'ouvrant de haut en bas. Le témoin estime qu'un humain devrait se mettre de travers pour pouvoir passer. L'engin n'a pas de hublot, mais son extrémité supérieure est constitué d'une matière transparente. Son extrémité inférieure se trouve à une hauteur de 50 à 60 cm. Il est doté sous sa masse principale d'un pivot central de couleur acier qui semble enfoncé en terre. L'engin repose également sur 6 pattes attachées à son extrémité inférieure.

Au cours du décollage, le témoin rapport que c'est le pivot central qui a donné l'impulsion du décollage, occasionnant un bruit sourd mais ne soulevant pas de poussière. Le tube central sort de terre, et et l'appareil s'élève de à une altitude de 0,5 à 1 m. Les six pattes commencer à tourner. Le décollage n'occasionne aucune fumée ni poussière, notamment à l'extrémité du tube central.

Après son envol, l'engin part en oblique dans la direction entre Volx et de Manosque, vers le Sud-Ouest. Sa vitesse est décrite comme "pire qu'un éclair" ou "plus rapide qu'un avion à réaction". M. Masse l'a perdu de vue au bout de 15 à 30 m, alors qu'il était environ à une altitude de 6 à 8 m. Lorsqu'il regarde en l'air pour le retrouver, il ne parvient plus à l'apercevoir.

Trace au sol

À la localisation du posé de l'engin, Mr Masse peut observer un trou de diamètre 40 cm et de profondeur 50 cm. Le constat de la Gendarmerie est légèrement différent : une cuvette peu profonde de diamètre 1,20 m, au centre de laquelle se trouve un trou cylindrique de diamètre 18 cm et de profondeur 40 cm. Mr Masse observe autour une trace ayant la forme d'une étoile, décrite plus précisément comme quatre sillons en croix ayant le trou pour centre, peu profonds, de largeur 8 cm et d'une longueur de 2 m. Au centre de la cuvette, le sol est détrempé dans le trou. Il est noirci du côté Nord, c'est-à-dire dans sa direction.

Revenu le soir du 01/07/1965 à 20:30, le témoin constate que la terre est devenue dure comme du ciment. La Gendarmerie confirme également le 02/07/1965 que la terre est compacte. Le champ était fraîchement biné et la terre était meuble alentour, à l'exception du lieu de posé.

La Gendarmerie a pris plusieurs photographie de la trace au sol.

Témoin

La rencontre s'est produite dans un champ de lavande lui appartenant. Il a déclaré à la Gendarmerie ne pas avoir consommé de repas ou de boisson avant son départ pour son champ. Il déclare avec une vue excellente.

Son immobilisation persiste assez longtemps après le départ de l'engin, pendant environ 15 minutes. Il a ensuite pu se remettre à bouger, d'abord les mains, puis presque immédiatement tout le corps, comme avant son immobilisation. Il n'a senti aucun engourdissement, ni pendant, ni après. Il n'a pas conservé de séquelle (vue toujours excellente, pas de perte de poids, pas de prise de médicament ultérieure) mais il constate toutefois avoir besoin de dormir nettement plus : de 6 à 7 h de sommeil par jour, il dors presque le double, et cette durée diminue lentement ; au moment de sa déclaration du 18/08/1965, il déclare dormir environ 10 h cumulés entre la nuit et la sieste.

Lieu

L'engin s'est posé sur un plateau au lieu-dit "L'Olivol", entre une vigne et un champ de lavande ancienne, au Nord d'un chemin de terre qui relaie la D15 et la D16. Le lieu se situe à 2 km à vol d'oiseau au Nord-Ouest de Valensole.

Sources

Les informations rapportées dans cet article sont issues des sources suivantes :

  • PV de la Gendarmerie N°445 du 2 juillet 1965 [lien].
  • PV de la Gendarmerie N°105 du 2 juillet 1965 de la Brigade de Recherche [lien].

Le 18 août 1965, M. Masse vient compléter ses déclarations ; il indique en effet qu'il avait craint d'être pris pour un fou lors de ses premières déclarations. Ces informations sont issues du PV de la Gendarmerie N°145 du 18 août 1965 [lien].